Je ne compte plus le nombre de fois où cette question m’est posée, et le sera sans doute encore dans le futur. Car oui, pourquoi ne pas vivre à Paris, là où « tout se passe » ? À l’heure où le #télétravail n’est plus une exception, il semble pourtant que vivre, et surtout travailler « en province », pose encore question.
Comme pour beaucoup, l’idée avait été envisagée après mes études, car à l’époque sans enfants et un avenir professionnel à créer, tout pouvait sembler m’amener sur ce chemin attendu et conforme. Plutôt que Paris, une incursion à Nice puis un retour en Auvergne ont été les choix que j’ai alors faits. Je n’ai jamais su vraiment l’expliquer mais vivre à Paris n’a jamais été une option pour moi. Encore aujourd’hui, l’alibi des enfants en garde partagée est une façade.
Pourquoi s’éloigner du “Tout se passe” ?
Quand je me déplace pour des rendez-vous à Paris, je me sens dans un état d’ébullition permanent, et clairement en « invitée », de passage. Et le retour me fait toujours l’effet d’une sortie de machine à laver : je suis essorée et rincée.
En Auvergne la terre est volcanique, endormie comme nos volcans, et l’énergie gronde en souterrain. En pleine #nature ou en ville grâce à la pierre de lave utilisée dans l’architecture, la perception des lieux est unique. « Il se passe quelque chose ».
Ici tout ce qui recharge est accessible vite et facilement. Lorsque mes clients viennent en #immersion, les lieux que nous traversons ou auxquels nous nous connectons, sont des terreaux fertiles pour les transmissions que je leur propose. Marcher au grand air, se recueillir dans des lieux sacrés qui ouvrent leur énergie à tous, vivre une session de travail depuis un jardin sauvage et magique : c’est ici que mon énergie sert le mieux celles et ceux qui viennent chercher ce “quelque chose” d’unique ✨
« Vous êtes sur Paris ? »
« Non, je suis en Auvergne. »
Je ne compte plus le nombre de fois où cette question m’est posée, et le sera sans doute encore dans le futur. Car oui, pourquoi ne pas vivre à Paris, là où « tout se passe » ? À l’heure où le #télétravail n’est plus une exception, il semble pourtant que vivre, et surtout travailler « en province », pose encore question.
Comme pour beaucoup, l’idée avait été envisagée après mes études, car à l’époque sans enfants et un avenir professionnel à créer, tout pouvait sembler m’amener sur ce chemin attendu et conforme. Plutôt que Paris, une incursion à Nice puis un retour en Auvergne ont été les choix que j’ai alors faits. Je n’ai jamais su vraiment l’expliquer mais vivre à Paris n’a jamais été une option pour moi. Encore aujourd’hui, l’alibi des enfants en garde partagée est une façade.
Pourquoi s’éloigner du “Tout se passe” ?
Quand je me déplace pour des rendez-vous à Paris, je me sens dans un état d’ébullition permanent, et clairement en « invitée », de passage. Et le retour me fait toujours l’effet d’une sortie de machine à laver : je suis essorée et rincée.
En Auvergne la terre est volcanique, endormie comme nos volcans, et l’énergie gronde en souterrain. En pleine #nature ou en ville grâce à la pierre de lave utilisée dans l’architecture, la perception des lieux est unique. « Il se passe quelque chose ».
Ici tout ce qui recharge est accessible vite et facilement. Lorsque mes clients viennent en #immersion, les lieux que nous traversons ou auxquels nous nous connectons, sont des terreaux fertiles pour les transmissions que je leur propose. Marcher au grand air, se recueillir dans des lieux sacrés qui ouvrent leur énergie à tous, vivre une session de travail depuis un jardin sauvage et magique : c’est ici que mon énergie sert le mieux celles et ceux qui viennent chercher ce “quelque chose” d’unique ✨
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